Bien que les différents événements liés au réchauffement climatique soient fréquemment abordés, il est impossible d’en connaître toutes les conséquences par cœur, étant donné qu'elles sont assez nombreuses. Parmi les principaux changements associés à la pollution et aux variations climatiques, on pourrait citer le décalage dans l'apparition de nouvelles couleurs sur les feuilles d’arbres.
En effet, même les végétaux ne sont pas épargnés, comme en témoigne le retard ou l'avance des tons qui devraient normalement apparaître sur les feuilles. La baisse de la pluviométrie ainsi que les conditions météorologiques extrêmes sont également perçues comme des facteurs principaux contribuant à ce phénomène, comme nous le verrons dans la suite de cet article.
Les arbres et les feuilles touchés par les changements climatiques
Bien que le dérèglement des couleurs des feuilles soit particulièrement inquiétant, il est à préciser que ce ne sont pas les seuls qui soient touchés, mais l’arbre tout entier. En effet, les changements climatiques n'impactent pas seulement une partie de ces entités végétales, mais impactent le cycle annuel de croissance des arbres dans son intégralité.
Si l'on venait à considérer le rôle prépondérant de ces différentes espèces dans la lutte contre la pollution et l'absorption du dioxyde de carbone, alors l'état actuel ne prévoit rien de bon et la lutte contre le réchauffement climatique pourrait être fortement entravé si aucune mesure n’est prise pour recadrer l’état naturel des arbres.
Si la sénescence des feuilles qui et un processus de vieillissement et de régénérations des cellules des arabes s'effectuant par le biais du changement de couleur des arbres caducs est altéré, quel est le devenir du CO2 absorbé par photosynthèse et qu’en sera-t-il de la planète ?
Un enchaînement naturel désastreux
La production et le développement des végétaux sont étroitement liés aux éléments climatiques naturels, tels que l’eau. En effet, le manque d’eau peut avoir un impact considérable sur la croissance des plantes, voire menacer leur survie.
De plus, une pluviométrie rare et peu intense peut entraîner des précipitations acides, avec des niveaux de carbone extrêmement concentrés. Lorsque ces précipitations sont absorbées par le sol, celui-ci devient fortement pollué, ce qui tend à faire flétrir les différentes espèces végétales et les conduit vers une mort certaine.
Si l’on ajoute à cette situation l'augmentation drastique des températures, qui influence grandement le processus de photosynthèse, alors il est certain que les plantes finiront par succomber et que les récoltes seront nulles. Cette perspective n'est pas favorable ni pour la planète ni pour l’humanité.
Comment remédier à la situation ?
L'arrivée précoce de la belle saison et les températures assez douces par rapport à la moyenne normale de saison influencent considérablement le cycle de développement des arbres qui devient plus long avec des phases de transition un peu trop courtes.
Ceci, associé au stress hydrique dont souffre la planète ces dernières années, on peut déduire les conséquences désastreuses que cela peut engendrer sur le pouvoir des forêts qui absorbent normalement un tiers des émissions de CO2 chaque année.
Pour remédier à cette situation préoccupante, les chercheurs ont opté pour la plantation d'arbres nécessitant moins d’eau pour leur développement. Selon eux, des espèces capables de survivre à la sécheresse pourraient devenir encore plus résistantes après reproduction. Cela les a incités à choisir la plantation intensive de cultures consommant moins d'eau.